** Dec 22, 2002/11:53 : MICHEL
Bonjour, j’ai acheté « mon képi pour un océan « , tout à fait par hasard à la FNAC de lyon La PART Dieu , il y a un an, en cherchant un livre de plus pour ma bibliothèque marine… J’ai beaucoup apprécié cette manière de raconter le voyage en bateau, tourné vers la découverte des autres, débarrasé des déscriptions maritimes ou des détails téchniques qui alourdissent souvent les récits marins. Salon nautique de décembre 2002,nouvelle découverte fortuite au détour d’un pilier parmis les librairies nautiques!Avec votre autre livre « de l’Orénoque à lAmazone » mais aussi avec vous qui me proposez gentiment une dédicace.Encore une fois le charme à joué et au delà de la prouesse que représente cette navigation dans les rapides, j’ai beaucoup apprécié la rencontre avec les Yanomamis et suis entiérement d’accord avec vous sur le fait qu’il faut absolument les laisser tranquilles et respecter leur mode de vie qui n’a rien à envier au notre.Peut-être même y a t’il beaucoup d’enseignements à tirer de leurs comportements. Maintenant je vous le promet,je n’attendrais pas de trouver votre prochain bouquin par hasard!Je guetterai sa parution dans la presse spécialisée.
** Dec 22, 2002/15:24 : Michel PHANER
Quel beau voyage vous m’avez fait faire sans bouger de mon lit ! Et quel dommage que vous n’ayez pas eu une petite caméra ! Mais avec un peu d’imagination, et les description très détaillée que vous faîtes, on y est presque. Une semaine après la lecture, je suis encore en Amazonie. Et tout à fait d’accord avec votre position concernant les « évangélisateurs » : ils me font penser à Pizzare et je ne suis pas certain que leurs objectifs soient très éloigné du Conquistador !! Encore merci et je vais vite commander votre précédent ouvrage.
** Dec 22, 2002/15:24 : Michel PHANER
Quel beau voyage vous m’avez fait faire sans bouger de mon lit ! Et quel dommage que vous n’ayez pas eu une petite caméra ! Mais avec un peu d’imagination, et les description très détaillée que vous faîtes, on y est presque. Une semaine après la lecture, je suis encore en Amazonie. Et tout à fait d’accord avec votre position concernant les « évangélisateurs » : ils me font penser à Pizzare et je ne suis pas certain que leurs objectifs soient très éloigné du Conquistador !! Encore merci et je vais vite commander votre précédent ouvrage.
** Dec 30, 2002/04:16 : Eric
Eric. Le 30.décembre 2002, Je suis allé au dernier salon nautique à Paris, accompagné de ma fille Amelia, le vendredi 13, où nous avons fait ta connaissance. J’ai acheté et lu ton livre « mon képi pour un océan », moi qui lit très peu, je l’ai trouvé passionnant et suis allé au bout sans problème. Ce que j’ai apprécié, c’est la manière et la précision dont tu sais décrire ce que tu vois et ce que tu ressent. Toutes mes félicitations. Je vais maintenant acheter « de l’Orénoque à l’amazone sur un voilier de dix mètres », si c’est dans le même style je suis sûr de ne pas m’ennuyer. Eric.
** Mar 12, 2003/17:13 : frédéric
Merci, merci de nous faire voyager, montrer que cela est possible, j’ai également un voilier mais de 8m en méditérranée, et je pense beaucoup à partir, mais quitter travail, maison, embarqué femme et enfants. on verra plus tard, en attendant, je me suis régalé avec « un képi pour un océan », et la partie dossier technique un plus génial. encore merci
** Dec 14, 2003/08:20 : Patrick
Au salon nautique de Gand, au début de l’année, vous m’avez recommandé votre livre, de l’Orénoque à l’Amazone. Nous sommes déjà à la fin de cette année et je me suis enfin décidé à le lire ce livre. En trois jours je l’ai dévoré. Quelle bouffée d’oxygène. Le récit d’un voyage inimaginable écrit dans un style vivant qui vous pousse à en savoir plus. Un ‘ must ‘ pour tous les voileux et amateur de belle écriture. Il me tarde de lire le tome 1 de cette aventure ainsi que le roman. Peut-être à bientôt au prochain salon de Gand.
** Dec 22, 2003/17:13 : Philippe
Brève rencontre au salon de Paris, quelques paroles échangées. Vite, lire le livre…. Il y a 20 ans, j’ai passé quelques temps à chasser le papillon en Amazonie Péruvienne, très loin en amont des eaux que vous avez parcourues. Vous avez fait revivre mes souvenirs des contacts si riches avec les indiens. J’ai revu aussi mes relations un peu rugueuses avec les adventistes. La rencontre vraie au bout de l’aventure, c’est très éloigné de ce que notre société offre à tous. Vous êtes un privilégié, je tente de l’être. A bientôt, quelque part dans le monde.